La COVID-19, détectable par NOZE, un nez électronique l’innovation Québécoise.
Une jeune pousse montréalaise a repris une technologie développée par la NASA. Ce génie Québécois l’a peaufinée afin d’en faire un outil permettant d’évaluer les risques de transmission du coronavirus.
Qu’est-ce que NOZE ?
Stratuscent a lancé il y a quelques jours son premier produit, NOZE, un moniteur de qualité de l’air qui met à profit un « nez électronique ».
Les utilisations potentielles d’un nez électronique sont nombreuses :
- Dans le milieu médical, on pourrait l’utiliser par exemple s’en servir pour détecter certaines maladies en analysant l’haleine des patients.
- En restauration, on pourrait l’utiliser pour alerter les cuisiniers qu’un aliment est périmé», illustre Karim Aly, directeur général de Stratuscent.
Mais, c’est pour prévenir du COVID-19, que Stratuscent a redoublé d’effort. Et permettre au nez électronique de répondre aux problèmes de la société.
Celle-ci fonctionne donc, en paramétrant différentes mesures sur une application mobile, qui va afficher sur l’écran une note de 1 à 10, où les pointages plus élevés (9 et 10) indiqueront un risque que les virus qui causent la grippe ou la COVID-19 soient dans l’air (sans pour autant confirmer s’il y en a assez pour que les occupants de la pièce soient susceptibles d’attraper le virus détecté).
Cette innovation, chez SODI ?
A Savoir : La NASA développe le projet du nez électronique depuis 1995.
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Source : https://lactualite.com/sante-et-science/un-nez-electronique-quebecois-pour-detecter-le-coronavirus/